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Ce "n'est pas soutenir": Pécresse pas "choquée" par d'éventuels parrainages LR à Zemmour

La candidate des Républicains, créditée d'environ 11,5% d'intentions de vote dans les sondages, et qui connaît des semaines difficiles, est interrogée par les journalistes de BFMTV et BFM Business.

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"J'ai mis du temps à parler": Valérie Pécresse regrette de ne pas avoir porté plainte après son agression sexuelle

Après l'émission sur BFMTV, Valérie Pécresse est venue répondre aux questions des internautes sur notre chaîne Twitch. Elle est notamment revenue sur son agression sexuelle, qu'elle a détaillée pour la première fois. Une séquence qui n'était pas prévue assure-t-elle.

"J'ai mis du temps à en parler. Quand on est agressée, c'est un phénomène assez classique, on veut immédiatement tourner la page, ne plus y penser", déclare la candidate LR, expliquant avoir un "immense regret", à savoir ne pas être allé au commissariat.

Alors qu'elle avait 22 ans au moment des faits, elle explique ne pas avoir fait cette démarche par crainte d'être mal reçue par la police, mais également à cause d'une "forme de culpabilité". "C'était un mécanisme d'autodéfense (...), je pense que beaucoup de femmes sont dans cette situation", déclare Valérie Pécresse, qui les encourage à porter plainte.

Le débrief de l'émission avec Valérie Pécresse en direct sur Twitch

Retrouvez le débrief de l'émission "face à BFM" avec Valérie Pécresse en direct sur Twitch avec nos journalistes Marie-Pierre Bourgeois et Alexis Cuvillier.

Parrainage d'élus LR à Zemmour ou Le Pen: Pécresse assure que "parrainer n'est pas soutenir"

Alors que Geoffroy Didier avait estimé que parrainer Éric Zemmour pour un maire LR revenait à s'exclure du parti, Valérie Pécresse ne partage pas cette opinion.

Si elle assure que la crainte affichée par Marine Le Pen et Éric Zemmour de ne pas avoir leurs parrainages est "une mise en scène que l'on a à chaque élection, elle affirme que "parrainer n'est pas soutenir". Elle ne reprochera donc pas à certains maires LR de faire ce choix, malgré le fait que, selon elle, leur rôle est "d'abord de parrainer leur candidate".

"Je n'ai aucun doute sur le fait que nos adversaires vont avoir leurs parrainages", assure Valérie Pécresse.

Valérie Pécresse assure ne pas être "sous influence" d'Éric Ciotti

Accusée d'être "sous influence" d'Éric Ciotti depuis son investiture au Congrès des Républicains, Valérie Pécresse s'en défend.

"Je ne suis sous influence de personne, et j'ai toujours eu une politique très ferme", assure Valérie Pécresse.

"Les propos que j'ai tenu pendant la primaire de la droite, ce sont les mêmes que j'ai tenu dans mon discours au Zénith", explique la candidate, qui explique notamment que d'autres personnalités comme Michel Barnier ou Philippe Juvin sont également centraux dans son projet. "Mon équipe, c'est une équipe, et c'est moi qui la dirige", conclut-elle.

"Au Zénith, un certain nombre de mes messages ont été détournés": Pécresse explique sa mauvaise dynamique dans les sondages

"Je pense qu'au Zénith, un certain nombre de mes messages ont été détournés", a expliqué Valérie Pécresse pour expliquer sa mauvaise dynamique dans les sondages.

Elle assure qu'elle va "redevenir" la mieux placée pour battre Emmanuel Macron, alors que Marine Le Pen obtient de meilleurs score dans un éventuel second tour face au président sortant.

Valérie Pécresse se dit prête à débattre avec Éric Zemmour et Marine Le Pen

Valérie Pécresse se dit prête à débattre avec Éric Zemmour et Marine Le Pen. Un changement d'avis par rapport aux semaines précédentes, expliqué par la candidate sur la question des parrainages.

S'estimant sûre que les deux candidats d'extrême droite s'apprêtent à obtenir leurs signatures, elle assure que le "temps du débat" est arrivé dans cette campagne présidentielle.

Valérie Pécresse veut promouvoir une "performance" des services publics

Interrogée sur les suppressions de postes de policiers sous Nicolas Sarkozy, Valérie Pécresse assure que pendant son mandat, la délinquance avait baissé. "On faisait plus avec moins", assure Valérie Pécresse, qui veut promouvoir une "performance" des services publics.

Elle assure cependant qu'elle ne supprimera pas des postes de policiers. Elle compte, en revanche, donner plus de moyens pour agir, avec notamment 5 milliards d'investissements prévus sur son quinquennat. "Je ne veux pas que notre justice devienne la justice des victimes oubliées", déclare la candidate.

Valérie Pécresse regrette que "les courtes peines ne soient pas exécutées"

Valérie Pécresse ne veut plus que les "personnes violentes" condamnées à des courtes peines puissent retrouvent la liberté sous bracelet électronique.

"Aujourd'hui, les courtes peines ne sont pas exécutées parce que les prisons sont pleines", regrette Valérie Pécresse, qui assure que "nos prisons sont indignes".

Elle propose donc d'utiliser des "prisons provisoires" en réquisitionnant des "casernes désaffectées" ou des "hôtels désaffectés". Une mesure qualifiée par Éric Dupond-Moretti de "sottise abyssale".

Valérie Pécresse assure que son projet de territorialisation des sanctions pénales est constitutionnel

Valérie Pécresse veut "rendre à la République" les "62 zones" dites de reconquête républicaine. Elle propose notamment d'être plus sévère pour les délits commis dans ces zones.

Alors que Rachida Dati pense que ce projet de territorialisation des sanctions n'est "pas constitutionnel", Valérie Pécresse maintient le contraire.

"On a 30% de policiers supplémentaires dans les zones de reconquête républicaine", ajoute-t-elle. "Les habitants de ces quartiers ont le droit à la justice", déclare Valérie Pécresse.

Prolongation du délai légal pour l'IVG: Pécresse dénonce une loi "qui ne résout pas le problème des femmes"

Alors que la prolongation du délai légal pour l'interruption volontaire de grossesse a été votée ce mercredi, Valérie Pécresse reproche une loi "qui ne résout pas le problème des femmes".

Elle préfère "financer les centres IVG, financer le planning familial" pour compenser le manque d'endroits disponibles pour réaliser des avortements dans les délais.

Pécresse assure que l'on "pouvait être contre le mariage gay en 2012 sans être homophobe"

Valérie Pécresse a été interrogée sur son opposition au mariage pour tous, voté en 2012, alors qu'elle ne compte plus revenir dessus si elle venait à être élue.

"À l'époque, j'ai défilé parce qu'il y avait une brutalité inouïe dans cette loi. C'était il y a dix ans. Je veux bien qu'on me reproche une fois dans ma carrière d'avoir éprouvé des doutes. On pouvait être contre le mariage gay en 2012 sans être homophobe", assure Valérie Pécresse, reconnaissant cependant qu'il y "en avait certainement".

"Ça a été la fin de la naïveté": Valérie Pécresse raconte son agression sexuelle

Valérie Pécresse est revenue sur une agression sexuelle dont elle a été victime lorsqu'elle était était âgée de 20 ans. Elle a notamment expliqué qu'un homme s'est introduit derrière elle lorsqu'elle rentrait dans un bâtiment, et qu'il lui a "sauté dessus" dans les escaliers. En criant, elle a réussi à attirer un voisin, faisant fuir l'agresseur.

"Il s'est passé suffisamment pour que je sois sous le choc, mais pas suffisamment pour que ça soit indélébile. Ça a été la fin de la naïveté. La fin de 'on se promène dans la rue et on se sent en sécurité", explique la candidate.

"C'est quelque chose de très important pour moi", assure Valérie Pécresse, assurant qu'elle a compris ce jour-là que "l'univers n'est pas peuplé de gens bon".

Valérie Pécresse se sent "beaucoup plus écologiste" que les élus d'Europe Écologie - Les Verts

Mettant en avant une "écologie sincère, pragmatique et de droite", Valérie Pécresse assure qu'elle a un programme pour l'environnement.

"Je me sens beaucoup plus écologiste que des membres d'EELV", déclare-t-elle.

Elle critique notamment les postures dogmatiques des élus écologistes.

Pécresse parle de sa mère: "elle m'a dit 'bosse, fais-toi ta place'"

Questionnée sur son éducation, Valérie Pécresse a notamment évoqué ce qu'elle avait appris de sa mère.

"Ce qu'elle m'a donné comme éducation, c'est peut-être des valeurs un peu désuettes (...) et surtout elle m'a dit 'bosse, fais toi ta place'", assure la candidate.

Pécresse estime que Renaud Muselier "pense à lui et pas aux autres"

Un duel en direct. Après avoir critiqué Renaud Muselier, qui avait fait alliance avec LaREM pendant les élections régionales, Valérie Pécresse a été questionnée sur sa réponse. L'élu a ainsi déclaré qu'il était "hallucinant" de lui reprocher cela, d'autant qu'il a fait le "meilleur score de la droite".

"Ça m'inspire que Renaud pense à lui et pas aux autres", déclare Valérie Pécresse, assurant que les candidats LR aux élections régionales qui n'avaient pas fait alliance avec LaREM s'étaient retrouvés en difficulté à cause de lui.

Pour contrer le manque de main d'œuvre, Valérie Pécresse veut des "quotas migratoires votés par le Parlement"

Pour contrer les manques de main d'œuvre en France, Valérie Pécresse propose des "quotas migratoires votés par le Parlement". Cela permet, selon elle, de trier les arrivées en fonction des professions et des pays d'origine.

Elle propose également de réformer l'assurance-chômage, de manière à aller plus loin qu'Emmanuel Macron. Selon elle, cela permettrait d'augmenter les salaires et les retraites. "On ne peut pas, dans un pays digne de ce nom", maltraiter les anciens qui ont travaillé 42 ans", assure-t-elle.

Valérie Pécresse maintient qu'elle veut supprimer 200.000 postes de fonctionnaires

Valérie Pécresse ne veut pas augmenter le point d'indice pour les fonctionnaires. Elle propose plutôt de rationaliser les budgets de l'État et de supprimer 200.000 postes avant d'en créer 50.000 dans des secteurs précis, à commencer par la santé et l'éducation.

"Ce ne sera pas de l'austérité, ça n'a aucun effet récessif de supprimer des doublons et des effectifs", explique Valérie Pécresse, qui veut également "digitaliser" certaines fonctions.

Sa réforme de l'État est "la mère de toutes les réformes" assure-t-elle. Elle promet également qu'il y aura des baisses d'impôts sur le quinquennat.

Valérie Pécresse assure être "la seule candidate à vouloir réduire les dépenses"

Pour régler la question des salaires, Valérie Pécresse propose d'augmenter l'écart entre les salaires et les "revenus d'assistances".

"On ne baissera pas les revenus d'assistance parce que ce sont des revenus de survie", explique Valérie Pécresse, qui veut, à l'inverse, baisser les charges pour augmenter les salaires.

"Pour baisser les charges, il faut baisser les dépenses publiques. Je suis la seule candidate à vouloir réduire les dépenses. Nous sommes les champions du monde de la dépense publique", assène Valérie Pécresse.

Industrie: Pécresse veut "produire plus, mieux, et surtout plus vite"

Valérie Pécresse souhaite simplifier les démarches et les charges administratives pour les projets d'infrastructures. Elle va jusqu'à parler de "choc de simplification".

Je pense que le sujet, c'est produire plus, mieux, et surtout plus vite. On ne peut pas vivre dans un pays où on met 11 ans pour sortir un projet industriel", explique Valérie Pécresse.

Muselier répond à Pécresse et assure avoir fait le "meilleur score de la droite" aux régionales

Renaud Muselier va-t-il soutenir Emmanuel Macron? Pour Valérie Pécresse, c'est plié: le président - ex-LR - de la région Sud-Paca "est déjà un allié objectif" de l'actuel président de la République. "Il a fait liste commune avec LaREM dès le premier tour des régionales, il a failli planter les élections régionales des autres présidents de région", a lancé la candidate à la présidentielle sur notre plateau.

Réponse immédiate de l'intéressé sur Twitter: "Valérie Pécresse raconte dans Face à BFM qu’en rassemblant et en additionnant, j’ai failli faire perdre la droite aux régionales?" "Raté : meilleur score de la droite (57,5%), 11 formations politiques unies (...) et une extrême droite balayée", a-t-il écrit.

Valérie Pécresse estime que "la mission pour la lutte contre l'islamisme au Sahel n'est pas terminée"

Alors que la France doit se désengager du Mali, Valérie Pécresse estime qu'il "faut se retirer" pour "protéger nos troupes et nos ressortissants". La candidate ne compte pas intervenir dans un pays qui "ne le souhaite pas".

"Ce que je crois, c'est que la mission pour la lutte contre l'islamisme au Sahel n'est pas terminée", assène-t-elle pour autant, pointant le risque de "déstabilisation" de plusieurs États de la région.

Appelant à une mise à niveau de l'armée française dans le futur, Valérie Pécresse pointe le risque de guerre. "Les Français, s'ils veulent la paix, doivent se préparer à défendre leur territoire", assure-t-elle par ailleurs.

Crise en Ukraine: Valérie Pécresse estime que la hausse du prix du gaz est "le prix à payer"

Alors que le prix du gaz risque d'augmenter en France à cause de la crise en Ukraine, Valérie Pécresse ne compte pas bloquer les prix pour éviter des hausses de facture.

"J'aurais le courage de dire aux Français que c'est le prix à payer pour qu'un pays indépendant puisse retrouver la paix", décrète la candidate.

"C'est une décision difficile" de s'opposer à la Russie, mais c'est "l'indépendance de la France", assure-t-elle. Pour "aider les Français", Valérie Pécresse ne veut pas faire "de fausses promesses". Elle explique qu'elle va tenir l'engagement des prix bloqués jusqu'en juin prochain, et qu'elle évaluera la situation à ce moment-là en cas de victoire à la présidentielle.

Valérie Pécresse assure que Vladimir Poutine est devenu "imprévisible"

Valérie Pécresse a reproché à Marine Le Pen et Éric Zemmour de faire "allégeance" à la Russie de Vladimir Poutine.

"Ce que je crois, c'est que le Vladimir Poutine que j'ai connu quand j'étais chez Chirac, n'est plus le Vladimir Poutine d'aujourd'hui", explique Valérie Pécresse, regrettant qu'il soit devenu "imprévisible" et "incontrolable".

Crise en Ukraine: Valérie Pécresse veut que la France garde un "rôle de médiation"

Valérie Pécresse assure que la France doit garder un "rôle de médiation" en Ukraine, et donc ne pas envoyer de nouvelles armes pour soutenir les alliés de la France.

"Ce que je crois, c'est qu'il faudra tirer un enseignement. Le destin de l'Union européenne est entre ses mains. On ne peut plus s'en tenir seulement à l'Otan pour la sécurité", explique Valérie Pécresse.

"Je ne crois pas que la France ait à envoyer des troupes en Ukraine à ce stade", a-t-elle assuré.

Pour Pécresse, Poutine a déjà "roulé Macron dans la farine deux fois"

Questionnée sur l'Ukraine, Valérie Pécresse a demandé des "sanctions préventives qui frappent dur" pour arrêter l'avancée des troupes russes.

"Personne ne sait lire dans l'esprit de Vladimir Poutine. C'est vrai que ce matin j'étais avec l'ambassadeur d'Ukraine qui se disait réaliste et qui avait vraiment une inquiétude sur un risque d'invasion", explique-t-elle, assurant que le président russe "a déjà roulé Emmanuel Macron dans la farine deux fois".

Elle explique que le travail aurait dû être fait "en amont", reprochant au président sortant de ne pas avoir assez anticipé la situation. "Aller au Kremlin avec Angela Merkel aurait été un beau geste", explique Valérie Pécresse, reprochant à Emmanuel Macron d'agir "seul".

Présidentielle: Valérie Pécresse assure être "la femme à abattre"

Valérie Pécresse a de nouveau critiqué la non-candidature d'Emmanuel Macron, assurant que le président sortant ne veut "pas faire face à son bilan".

"Je suis la femme à abattre parce qu'il veut continuer son tango avec Marine Le Pen et Éric Zemmour, parce que c'est le tango de la réélection assurée", dénonce la candidate à la présidentielle.

"Je demande ces débats, parce que sinon ça veut dire qu'on a un candidat qui se cache", regrette-t-elle.

Soupçons de fraudes au Congrès LR: Valérie Pécresse dénonce une opération de "déstabilisation"

Interrogée dès le début de l'émission sur les révélations de Libération concernant les soupçons de fraude lors du Congrès LR, Valérie Pécresse dénonce une "campagne de déstabilisation".

"Je voudrais m'indigner du niveau de cette campagne. (...) Cette primaire a été exemplaire, elle s'est déroulée sans la moindre contestation", assure la candidate.

"Est-ce que vous pensez que si mes adversaires avaient eu le moindre doute, ils n'auraient pas contesté les résultats?", déclare-t-elle. Concernant le chien "Douglas", qui aurait été inscrit comme électeur du Congrès, Valérie Pécresse assure qu'un "canular dans une primaire, ça peut arriver" et que cela "ne remet pas en cause la sincérité du scrutin".

Valérie Pécresse "face à BFM", c'est tout de suite

La candidate des Républicains est tout de suite l'invitée de BFMTV dans "face à BFM".

Valérie Pécresse "face à BFM", c'est aussi à suivre sur notre chaîne Twitch

Nos journalistes Marie-Pierre Bourgeois et Alexis Cuvillier commentent l'émission de ce soir en direct depuis la chaîne Twitch de BFMTV.

Le Congrès des Républicains qui a sacré Valérie Pécresse soupçonné de fraudes

Ce mercredi, Libération a révélé que la primaire interne des Républicains, qui a permis d'investir Valérie Pécresse, a été entachée de "manœuvres frauduleuses". Selon le quotidien, un chien surnommé "Douglas", des personnes décédées et des "adhérents fantoches" ont pu voter.

Le parti Les Républicains a dénoncé une "tentative de déstabilisation" basée "sur des approximations, des sous-entendus et des allégations infondées". Christian Jacob, président de la formation, a demandé à "son avocat de saisir le procureur de la République de Paris contre le journal Libération et les auteurs de cet article".

Des sondages en baisse constante depuis quelques semaines

Les semaines se suivent et se ressemblent pour Valérie Pécresse, en tout cas dans les chiffres. Donnée au second, voire gagnante face à Emmanuel Macron, peu après sa victoire au Congrès des Républicains, la candidate est aujourd'hui créditée de 11,5% des intentions de vote selon notre sondage Opinion 2022 réalisé par Elabe. Elle est désormais largement distancée par Marine Le Pen (18%) et Éric Zemmour (16%), et talonnée par Jean-Luc Mélenchon (11%).

Valérie Pécresse est "face à BFM" à partir de 20h50

Un grand oral pour se relancer. La candidate des Républicains Valérie Pécresse, fragilisée par des sondages en baisse, une polémique sur son investiture et des critiques quant à ses performances lors des meetings, répond aux questions des journalistes de BFMTV et BFM Business. Mais vous pouvez également l'interroger sur les réseaux sociaux avec le hashtag #FACEABFM ou par courriel à l'adresse faceabfm@bfmtv.fr.

Anthony Audureau